4 astuces pour mieux gérer sa colère

femme en colère

4 astuces pour mieux gérer sa colère

femme en colère

Si vous avez déjà été en colère, vous savez combien il peut être difficile de gérer la situation. La colère n’est pas toujours ressentie comme un problème, mais à la longue, elle peut avoir des répercussions sur votre santé mentale et vos relations. Plus nous exprimons nos sentiments, mieux c’est – mais cela ne signifie pas que la colère soit toujours saine ou appropriée. En fait, se mettre en colère n’est parfois pas utile, car il existe d’autres moyens de résoudre les problèmes que de crier après quelqu’un ou de jeter quelque chose à travers la pièce (comme casser des assiettes contre les murs). Cependant, apprendre à comprendre l’énervement et à la gérer peut conduire à des relations plus saines, tant dans le cadre personnel que professionnel ! En cas de difficulté trop importante, se former à la PNL ou suivre des séances d’hypnose peuvent permettre de dépasser son énervement avec de bons résultats.

1. Comprendre la colère

La colère est une émotion humaine normale. C’est ce que vous ressentez lorsque quelque chose s’est produit ou a été dit qui vous contrarie, et elle peut être utile lorsqu’elle vous motive à agir. Néanmoins, s’énerver peut aussi être destructrice. Quand elle s’accumule au fil du temps, elle conduit à la violence, au stress et à l’anxiété, ainsi qu’à la dépression et à des problèmes de santé physique tels que l’hypertension et les maladies cardiaques.

Comprendre ce qui nous pousse à nous mettre en colère est la première étape vers une gestion plus efficace de nos émotions afin d’éviter qu’elles ne deviennent incontrôlables à l’avenir.

2. Identifiez vos déclencheurs.

Vous devez savoir quels sont vos déclencheurs. Qu’est-ce qui vous énerve ? Est-ce lorsque quelqu’un te coupe la route, ou lorsque quelqu’un d’autre obtient une promotion qui était censée être la tienne ? Identifie les choses qui te mettent en colère, puis essaie de les éviter autant que possible.

Si tu t’énerves plus souvent qu’à ton tour, il y a peut-être quelque chose de plus profond qui se passe. Y a-t-il des problèmes sous-jacents tels que la dépression ou l’anxiété qui provoquent ce comportement ? Si c’est le cas, consultez un médecin ou un thérapeute qui pourra vous aider à diagnostiquer ces problèmes et à les traiter en conséquence.

3. Soyez attentif aux pensées qui vous viennent

Prêtez attention aux pensées qui vous viennent dans ces situations et essayez de les changer. Alors, quelles sont les pensées qui surgissent dans ces situations ? Quel événement positif aimeriez-vous revivre chaque fois que vous commencez à vous énerver ? Et si vous pensiez à tous ce qui n’irait pas dans votre vie, dans vos relations et dans votre santé chaque fois que vous vous énervez ? Vous pouvez avec un dialogue positif avec soi-même. L’utilisation de la PNL pour la gestion des émotions est un bon moyen de modifier nos schémas de pensée par la répétition, afin d’apprendre de nouvelles façons de gérer nos émotions et nos réactions.

4. Adoptez un discours positif, surtout lorsque vous êtes énervés.

Lorsque vous êtes en colère, il est facile de dire quelque chose de négatif. Il est naturel de blâmer les autres et de s’en prendre à eux. Mais cela peut aggraver la situation. Au lieu de dire quelque chose de méchant ou de blessant, essayez plutôt de parler de manière positive !

“Je tiens à toi, et je veux que tu te ressaisisses rapidement pour sauver notre relation !” ou “Tu es une bonne personne, ce que tu fais ici, ce n’est pas toi !”. Vous pouvez également vous entraîner à vous affirmer par un langage corporel et des expressions faciales positives. Par exemple, en souriant ou en hochant la tête de haut en bas lorsque quelqu’un dit quelque chose de gentil sur vous (même si ce n’est pas vrai). Lorsque vous vous sentez en colère contre quelqu’un d’autre, prenez le temps de faire quelque chose d’amusant, comme du sport, une promenade dans la nature ou une sieste. Ces activités vous aideront à calmer vos émotions négatives afin qu’elles ne deviennent pas incontrôlables. Elles peuvent varier en fonction de vos préférences, néanmoins, l’activité sportive et les activités de plein air.

Conclusion

Nous espérons que cet article vous a donné un aperçu des causes de votre colère et des moyens de mieux la gérer. N’oubliez pas que tout le monde se met en colère de temps en temps. C’est dans la nature humaine. L’essentiel est d’apprendre à ne pas laisser ces sentiments prendre le contrôle de votre vie et à ne pas blesser votre entourage !

Phobies: 4 astuces pour s’en débarrasser

femme ayant la phobie d'un chat

Phobies : 4 astuces pour s’en débarrasser

Quelle que soit la technique utilisée, la personne est confrontée progressivement à l’objet de sa peur pour l’aider. Et l’on remonte aux racines de la phobie pour mieux supprimer les émotions négatives qui y sont associées. La personne peut choisir entre la thérapie comportementale et cognitive, la méthode EMDR, méthode de l’« autonettoyant émotionnel » ou encore l’hypnose pour lutter contre sa phobie.

1. La thérapie comportementale et cognitive

La TCC est utilisée pour déconditionner une peur. La méthode consiste à confronter progressivement à l’objet de sa phobie.

Prenons l’exemple d’une personne ayant la phobie du chat. Le thérapeute commence par lui demander de regarder le mot écrit. Il lui montre par la suite des images puis des vidéos de l’animal. Quand le patient fait des progrès dans la gestion de la peur, on peut l’exposer à la réalité. La personne peut en l’occurrence faire face à un chat.

La durée de la thérapie dépend du type de phobie à traiter. Une séance de 45 minutes par semaine, pendant environ trois mois, est nécessaire pour vaincre une phobie simple.

Il faut en revanche entre trois mois à deux ans de prise en charge pour une phobie sociale, en fonction de l’intensité de la peur. Pendant cette période, le patient est soutenu par des professionnels et participe à des séances de thérapie de groupe de 2 heures afin de se familiariser au regard et au jugement des autres.

2. La méthode EMDR

La phobie est parfois le résultat d’une expérience traumatisante. Manifestation de troubles de stress post-traumatique, elle peut survenir lors d’un deuil, de la confrontation à la mort, d’une maladie mortelle, d’un accident routier, d’une agression, de maltraitances psychologiques ou sexuelles ou encore de harcèlement professionnel ou scolaire.

La technique EDMR aide la personne à dépasser des vécus traumatiques non digérés. Au fil des séances, le patient relate les uns après les autres les événements qui l’ont traumatisé. Il faut parfois plusieurs séances pour faire remonter et comprendre la portée d’un seul souvenir.

Le thérapeute demande à son patient de décrire de manière spontanée ce qu’il ressent quand il parle d’un souvenir en particulier. Le but est de savoir quelle sensation, émotion ou pensée négative la personne associe à un cet événement traumatique.

En même temps, le praticien lui demande de suivre avec les yeux le mouvement de ses doigts et d’exprimer tout ce qui lui vient spontanément à l’esprit. Les stimulations  neuro-émotionnelles effectuées en séance permettent de faire remonter les souvenirs non digérés pour que le patient puisse les confronter progressivement.

Au fil des séances, le patient continue d’évoquer ses souvenirs perturbants et d’exprimer ce qu’il ressent en les relatant. Le thérapeute poursuit cette série de stimulations jusqu’à ce que le patient ait pleinement digéré ses vécus.

3. La méthode de l’« autonettoyant émotionnel »

Si la personne s’est formée à la méthode Tipi (technique d’identification des peurs inconscientes), elle n’a pas besoin de l’aide d’un thérapeute pour la méthode de l’« autonettoyant émotionnel ».

Pour se faire, elle ferme les yeux pour se représenter la gêne ou la peur qu’elle ressent. Pour voir comment des sensations désagréables se traduisent dans son corps, il faut avoir une capacité d’anticipation de ses propres blocages émotionnels et de régulation de ses émotions. La méthode permet en tout cas de s’évacuer de tout ressenti négatif de manière naturelle.

4. L’hypnose

L’hypnose est en réalité un ensemble de plusieurs techniques permettant de se débarrasser d’émotions néfastes pour la santé et le bien-être. Parmi ces techniques, il y a notamment l’autohypnose. Le patient l’apprend au début d’une thérapie et la pratique à tout moment pour rester serein.

Avec les techniques dites de la « régression en âge » et du « pont d’affect en hypno-analyse », le thérapeute remonte aux racines de la peur et aide le patient à y faire face, toujours de manière progressive.

Il faut du temps pour que la personne s’habitue à confronter le ou les objets de sa peur. Quand le praticien estime que son patient est suffisamment prêt, il peut effectuer des stimulations alternatives hypnotiques. Il ne s’agit plus cette fois d’affronter la réalité mais de se débarrasser complètement des émotions négatives associées à la phobie.

Il faut environ dix séances d’une heure d’hypnothérapie pour venir à bout d’une phobie. Le nombre de séances varie néanmoins en fonction du type et de l’intensité de la phobie.

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Comment se faire respecter au travail en 6 étapes

groupe de travailleur applaudissant une salariée

Comment se faire respecter au travail en 6 étapes

C’est en vous affirmant et en respectant les autres que vous gagnerez le respect d’autrui. Des qualités relationnelles comme l’esprit d’équipe ou la patience sont également importantes au travail.

1. Rester la personne que l’on est

L’affirmation de soi est importante au travail et dans la vie en général. La personne qui doit vous respecter en premier n’est autre que vous-même. A aucun moment vous ne devez laisser les désirs des autres prendre le pas sur vos propres besoins. Dites franchement le fond de votre pensée quand il le faut. Ayez des limites et osez dire non quand vous en êtes proche. En somme, assumez votre personnalité parce qu’elle a de la valeur.

Pour autant, cela ne veut pas dire que vous devez n’en faire qu’à votre tête. Respectez toujours le règlement de l’entreprise. Faites preuve d’humilité et de respect à l’égard de vos collègues. Faites de votre mieux pour vous intégrer à l’équipe.

2. Respecter les collègues de travail

Il y a toujours au travail des personnes que vous n’appréciez pas forcément. Mais vous êtes collègues. Vous êtes peut-être amenés à travailler ensemble sur certaines missions. La bonne entente, ou du moins l’esprit d’équipe est donc indispensable.

Le respect ne doit cependant pas être à sens unique. Que vous fassiez des efforts pour respecter tout le monde, y compris ceux que vous n’appréciez pas ou qui ne vous portent pas dans leur cœur, c’est déjà une bonne chose. Mais il serait injuste qu’en retour vous n’ayez pas droit au même respect.

On insiste alors sur le fait que vous avez le droit d’avoir des limites. Quand vous estimez qu’il y a de l’hostilité ou du mépris  à votre égard, parlez directement à la personne. Votre bien-être est trop précieux pour laisser les autres vous pourrir vos journées de travail.

3. Faire preuve d’humilité

La première impression est très importante quand vous arrivez dans une entreprise. C’est cette impression que les autres employés garderont de vous. Si vous vous  comportez comme celui ou celle qui sait tout dès la première journée, cela va forcément plomber l’ambiance.

En vrai, ces nouveaux collègues ne demandent qu’à mieux vous connaître. Soyez ouvert à tout le monde. Prenez l’initiative et faites-vous des amis. N’hésitez pas à demander de l’aide, pour le travail ou pour autre chose.

En vous ouvrant aux autres, vous les mettez tout de suite à l’aise avec vous. Ils auront envie de vous poser des questions sur qui vous êtes, vos expériences…

4. Faire son travail correctement

Le respect se mérite, il ne s’exige pas. C’est en faisant bien votre travail que vous gagnez l’estime de vos collègues, notamment de vos supérieurs.

Faites de votre mieux pour respecter les consignes concernant la réalisation de vos tâches, telles que les délais impartis. Si vous estimez qu’une tâche nécessite plus de temps que prévu, informez-en sans attendre votre supérieur. N’hésitez pas non plus à lui parler si jamais on fixe des objectifs difficilement atteignables.

Les managers n’apprécient pas forcément qu’on remette en cause leur décision. Mais faudrait-il ménager un supérieur même quand ce qu’il demande est à la limite du raisonnable ? Assurément pas. Ce n’est pas en disant oui à tout que vous gagnerez le respect d’autrui. Bien au contraire. 

 

 

5. Faire preuve d’esprit d’équipe

Pendant votre entretien d’embauche, vous avez utilisé vos meilleurs arguments pour obtenir le poste. Vous avez notamment expliqué que vous seriez capable de travailler en équipe. Cela fait partie des qualités humaines que tous les employeurs recherchent chez les candidats. Maintenant que vous avez le poste, il est temps de passer de la promesse aux actes.

Faire preuve d’esprit d’équipe ne signifie pas nécessairement que vous serez amis avec tout le monde. Cela révèle plutôt votre capacité à écouter les autres et à prendre en compte leurs avis. Si vous estimez avoir la bonne approche pour la réalisation d’une mission, essayez de convaincre sans donner l’impression d’imposer votre point de vue.

6. Se monter patient avec autrui

On a commencé cet article en vous conseillant de rester vous-même. Ce conseil vaut aussi pour tous vos collègues. L’entreprise est un lieu où plusieurs personnalités, parfois opposées, se côtoient. Il y a forcément des personnes que vous  n’appréciez pas beaucoup. Mais dites-vous bien que si les autres tolèrent certains de vos défauts, vous devriez en faire autant.

Il y a un « monsieur je sais tout » ou une personne qui ne peut pas s’empêcher de se mêler des affaires d’autrui dans votre équipe ? Essayez de faire preuve de patience à son égard. Si c’est avec vous que le collègue en question fait des siennes, dites-lui sur-le-champ ce que vous pensez de son attitude. Veillez tout de même à ce que la situation n’altère pas l’ambiance au sein de l’équipe.

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Cinq conseils pour oublier son ex

femme malheureuse

5 conseils pour oublier son ex

Il faut s’accorder le temps nécessaire pour oublier son ex. Il faut, pour y arriver, cesser tout contact avec lui ou elle, s’entourer des bonnes personnes et s’occuper l’esprit. Quand vous commencez à vous réadapter à la vie de célibataire, vous serez donc prêt à terminer un chapitre et à commencer une nouvelle histoire.

1. Arrêter de voir son ex

Il est difficile de passer à autre chose tant qu’on continue à fréquenter son ex. Beaucoup de couples se séparent puis se promettent de rester amis, de s’épauler quand il le faut. L’intention est louable d’une certaine manière. Mais cela peut aussi être un frein, au moins pour l’une des deux personnes, à la volonté d’aller de l’avant. Il n’est pas rare en effet que le fait de parler et a fortiori de revoir son ex pousse une personne à tenter de recoller les morceaux.

Arrêter de communiquer avec son ex n’est jamais facile cependant. Il s’agit en effet d’une personne que l’on a aimée profondément pendant des mois voire des années. Mais continuer à se fréquenter va justement faire remonter tous les bons souvenirs, les moments passés ensemble. Au point que l’esprit finisse par occulter tout ce qui n’allait pas et qui a conduit à la séparation.

Dans ce genre de situation, certains couples finissent par se remettre ensemble. S’accorder une deuxième chance peut marcher dans certains cas, mais cela peut aussi entraîner des blessures plus profondes dans d’autres.

Le plus important est d’être honnête avec soi-même. A partir du moment où l’on accepte que la relation est définitivement terminée, il ne faut pas prendre le risque de voir ses sentiments, qui mettent du temps à disparaître, refaire surface.

2. Se donner du temps pour tourner la page

Oublier son ex n’est jamais chose facile. Il faut souvent beaucoup de temps pour ne plus ressentir quoi que ce soit à son égard. C’est d’ailleurs pour cela qu’on est souvent tenté de lui parler fréquemment, comme on se confierait à un ami proche. On aime bien lui parler alors de tout et de rien, du moment que cela permet de rester en contact. Au bout d’un moment, l’envie de le ou la revoir se fait de plus en plus pressante.

En même temps, on peut paraître dur avec soi-même. « Pourquoi est-ce que je continue à parler avec une personne qui m’a fait tant souffert ? » C’est le genre de question qu’on se pose et qui traduit une certaine ambivalence. Car on est bien conscient que la relation est tombée à l’eau, mais on a tout de même envie de garder le contact.

Continuer de repenser à son ex plusieurs semaines après la rupture est parfaitement normal. Il ne faut pas être dur avec soi-même et s’accorder le temps nécessaire pour l’oublier et passer à autre chose. Il y aura des jours où l’on se sent parfaitement à l’aise dans sa nouvelle vie de célibataire. Mais il y en a d’autres où l’on se sent pratiquement minable de vouloir encore lui parler voire de continuer à l’aimer.

Les sentiments qu’on ressent pour son ex finissent toujours par disparaître. Mais il faut laisser les choses se passer naturellement. Pendant tout le temps que cela prendra, il faut simplement se garder de le ou la recontacter, même si c’est difficile.

3. S’occuper l’esprit

Il y a des moments, après la rupture, où les meilleurs souvenirs de son ex reviennent à l’esprit. Repenser à ces bons moments passés ensemble peut faire encore plus souffrir, particulièrement quand il n’y a plus aucune chance de se remettre ensemble.

Aussi est-il nécessaire de toujours s’occuper l’esprit en faisant notamment diverses activités. On peut par exemple organiser une soirée barbecue en famille ou avec des amis. On peut aussi voyager dans des endroits qu’on a toujours rêvé de découvrir. S’initier à de nouvelles activités peut également aider : plongée sous-marine, parapente, escalade, rafting, waterpolo, etc.

4. Se réadapter à la vie de célibataire

Repenser à son ex revient à vivre constamment dans le passé. Il est pourtant important d’apprécier toutes les bonnes choses que l’on a aujourd’hui, à commencer par une certaine indépendance retrouvée.

Cette autonomie permet de faire ce qu’on veut quand on le veut. On peut sortir en boîte avec des potes et ne rentrer qu’à 2 ou 3 heures du matin ou rester dormir chez un ou une amie, sans rendre de compte à personne.

La vie de célibataire consiste évidemment aussi à faire seul des choses qu’on avait l’habitude de partager avec son compagnon, des petites balades en ville aux courses en passant par les soirées. Mais il faut assumer cette indépendance pour aller de l’avant.

5. Voir quelqu’un quand on est prêt

En vérité, il est assez rare que les  sentiments pour son ex disparaissent entièrement, même plusieurs mois après la rupture. Commencer à flirter avec quelqu’un aide tout de même à véritablement aller de l’avant.

Encore une fois, il faut s’accorder du temps avant de franchir à nouveau le Rubicon. Mais le simple fait de parler avec une autre personne est souvent source de joie. Quand un flirt débouche sur une relation sérieuse, il n’y a tout bonnement plus de place pour son ex dans son esprit.

Comment réussir un entretien d’embauche en 7 étapes

jeune femme noire entretien

Comment réussir son entretien d’embauche en 7 étapes

Pour réussir un entretien d’embauche, renseignez-vous sur l’entreprise et le poste auquel vous postulez. Faites des exercices pour la présentation orale de vos parcours et la réponse aux questions posées. Ne négligez pas non plus vos tenues et soyez à l’heure.

 

entretien embauche

1. Renseignez-vous sur l’entreprise

Renseignez-vous sur la nature du poste. Prenez le temps de vérifier les qualités requises pour l’occuper, ainsi que les responsabilités qui vont avec.

Renseignez-vous également sur l’entreprise, ses objectifs et sa stratégie de développement. La connaissance des valeurs qui l’animent ou encore de son environnement concurrentiel vous sera également utile lors de l’entretien.

2. Apprenez à connaître vos différentes qualités

Faites la liste de vos compétences professionnelles : vos expériences, les langues que vous parlez, les outils que vous maîtrisez, etc. Mettez également sur papier vos qualités humaines et relationnelles, les valeurs qui vous tiennent à cœur mais également vos défauts.

Il vous sera également utile de faire part au recruteur de vos attentes vis-à-vis de l’entreprise et du monde professionnel en général.

3. Essayez de comprendre les exigences du recruteur

Mettez-vous à la place du recruteur et essayez de décrire le profil idéal pour le poste auquel vous postulez. Si c’était vous qui faisiez passer l’entretien, quelles sont les compétences et qualités auxquelles vous porteriez une attention particulière ?

La connaissance des attentes du recruteur vous aide à mieux  préparer vos arguments lors de l’entretien.

4. Préparez la prise de parole

Avoir les compétences nécessaires pour le poste ne suffit pas nécessairement pour se faire embaucher. Encore faut-il savoir les exposer de manière claire pendant l’entretien d’embauche.

La meilleure manière pour y arriver est de vous entraîner à la présentation orale de votre profil. Expliquez en deux ou trois minutes votre parcours académique, vos expériences professionnelles et vos différentes qualités.

Demandez à un proche de jouer le rôle du recruteur. Organisez un entretien fictif de cinq ou dix minutes. Commencez par vous présenter, puis poursuivez en expliquant vos motivations. Entraînez-vous à convaincre votre interlocuteur en quoi votre embauche serait bénéfique pour l’entreprise.

Votre ami vous posera ensuite des questions concernant votre parcours académique et professionnel mais aussi sur ce que vous savez du poste et de l’entreprise. Prenez ce jeu de rôles bien au sérieux. Faites comme de si cet entretien, certes fictif, dépendait votre embauche.

5. Anticipez les questions que posera le recruteur

Le recruteur commence toujours par vous demander de vous présenter en deux ou trois minutes. L’exercice que vous aurez fait chez vous, éventuellement avec l’aide d’un ami, vous facilitera grandement la tâche.

Vous aurez également à expliquer vos motivations pour le poste comme pour l’entreprise. Vous devez en outre convaincre le recruteur que vous comprenez la nature et les enjeux du poste auquel vous postulez.

Préparez-vous également à parler de vos expériences professionnels et de vos échecs. Entraînez-vous à expliquer en quoi votre embauche serait une valeur ajoutée pour l’entreprise.

Le recruteur ne manquera pas de vous demander pourquoi vous quittez votre poste actuel. Soignez la manière dont vous lui répondrez sur ce sujet afin de le rassurer sur votre sérieux. Il vous posera également des questions sur vos prétentions salariales ainsi que vos aptitudes relationnelles (gestion du stress, capacité à travailler en équipe, etc.)

A la fin de l’entretien, on vous demandera généralement de poser des questions. Le recteur jugera à travers les questions que vous posez si vous comprenez réellement ou non les enjeux du poste.

 

vetement entretien

6. Préparez la tenue et les équipements adéquats

N’attendez pas le matin, le jour de l’entretien, pour préparer tout le matériel qu’il faut, à savoir le CV, le stylo, l’agenda ou encore le sac. Il en est de même pour la tenue vestimentaire.

Le choix de cette tenue est important pour votre image lors de l’entretien. Privilégiez une tenue élégante mais sobre. Si vous êtes une femme, un grand sac plutôt classique est préférable à un mini-sac ou une pochette. Le maquillage doit être léger, et évitez de porter des talons trop haut perchés. Evitez également tout ce qui peut distraire le recruteur : décolleté, jupe courte, accessoires trop visibles, bijoux ostentatoires…

7. Préparez le déplacement vers l’entreprise

Renseignez-vous sur le temps qu’il faut pour vous rendre à l’entreprise en fonction des moyens de déplacement (taxi, bus…) L’idéal est que vous soyez sur place au moins une dizaine de minutes à l’avance.

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Productivité: Comment manager un employé lent en entreprise

Productivité: Comment manager un employé lent en entreprise ?

Certains employés sont lents par nature ou en raison d’un environnement de travail peu motivant. En tant que manager, essayez de déceler la ou les causes de leur lenteur, et discutez-en avec eux pour trouver des solutions qui conviennent à toute l’équipe.

lent en entreprise

Qu’entend-on par lenteur au juste ?

La lenteur se manifeste de différentes manières.

1. Le manque de rapidité

Concrètement, l’employé a besoin de plus de temps que les autres pour réaliser les mêmes tâches. Vous ne pouvez généralement pas comptez sur lui pour livrer son travail dans les délais impartis. Et cela constitue un frein à la productivité de l’équipe voire de l’entreprise.

Attention néanmoins aux faux lents, ces salariés qui prennent tout leur temps pour préparer mais pour mieux agir vite. Ces collaborateurs réussissent souvent du premier coup puisque leurs actions sont bien structurées.

Les faux lents sont donc méthodiques, ce qui est une bonne chose en soi. Mais cela peut poser un problème au manager qui a tout de même besoin de voir que toute son équipe avance avec le même rythme.

2. Le manque de réactivité

Le collaborateur met plus de temps que les autres à vous répondre. Mais il faut, là aussi, savoir faire la part des choses. L’employé qui prend son temps pour exécuter une tâche que vous estimez urgente n’est pas forcément lent ou paresseux. Cela peut aussi témoigner de son sens de l’organisation.

On a en entreprise des exemples de collaborateurs qui effectuent leurs tâches en fonction de leur importance et de leur urgence. Il n’est pas rare que ces employés refuser de changer d’un claquement de doigt leur emploi du temps simplement parce qu’un manager vient d’envoyer un e-mail indiquant qu’une autre tâche est plus urgente que les autres. En clair, ils sont efficaces parce qu’ils s’en tiennent à leurs priorités.

3. Le collaborateur qui part souvent en dernier

On peut être tenté de considérer que celui ou celle qui fait des journées à rallonge travaille lentement. Qu’il ou elle parte toujours en dernier peut s’expliquer de différentes manières. C’est un comportement qui peut révéler une forte implication au travail ou bien une situation stressante due par exemple à la fin imminente de la période d’essai ou à des problèmes de couple.

La lenteur est d’une certaine manière une question de perception et surtout de comparaison. En fonction de qui ou de quoi jugez-vous qu’un collaborateur est lent ? Est-ce qu’il l’est parce qu’il met plus de temps que les autres pour répondre à vos mails ou pour exécuter une tâche ? Est-ce qu’il vaut cette étiquette parce que sa manière de travailler ne correspond pas à vos objectifs ou à votre tempo personnel ? En quoi son rythme pose un problème pour la productivité de l’équipe ou de l’entreprise ?

Si vous estimez en tout cas que vous n’avez pas affaire à un faux lent, les conseils suivants peuvent vous aider.

Que faire face à un collaborateur plus lent que les autres ?

Il faut faire la distinction entre ceux qui sont lents malgré eux et ceux qui le sont volontairement.

1. Quand un collaborateur est lent malgré lui

La lenteur ne dépend pas nécessairement de l’employé mais peut être due par exemple à un manque de capacités ou de ressources. Demandez-lui ce qui l’empêche de suivre le rythme du reste de l’équipe et proposer une solution concrète pour y remédier. Si la lenteur est due au fait que le salarié est encore en phase d’apprentissage, il aura sans doute besoin de vous ou d’un autre collège plus expérimenté pour l’aider à se familiariser avec le process ou les outils de l’entreprise.

 

Le collaborateur peut aussi être lent parce qu’il est perfectionniste. Dans ce cas, demandez-lui de se recentrer sur les priorités et donnez-lui des objectifs clairs. Prenez le temps de clarifier les réelles attentes de l’entreprise afin qu’il ne se mette pas trop la pression.

 

lent en entreprise

 

2. Quand un collaborateur est lent volontairement

Le collaborateur lent n’est pas forcément paresseux mais aime simplement avancer tranquillement. Il est important pour lui de se donner le temps de respirer entre deux tâches, de garder une certaine maîtrise sur son emploi du temps.

 

Essayez, dans la mesure du possible, de trouver avec lui un terrain d’entente. Si vous ne faites rien, cette lenteur peut impacter l’organisation et la productivité de l’équipe. Si vous l’obligez à changer brusquement de rythme, cela peut entraîner un manque d’engagement, le salarié jugeant que l’environnement devient toxique.

 

Discutez également avec ses collègues, pour essayer de voir comment adopter un rythme qui convienne à tout le monde.

 

La lenteur peut aussi être due à un manque de motivation, de manière générale ou sur certaines tâches. Ce manque d’engagement est compréhensible jusqu’à une certaine limite. Pour éviter que cela ne devienne un véritable acte de désengagement ou de résistance passive, assurez-vous que l’environnement de travail n’affecte pas la motivation de vos employés.

 

Une méthodologie inadéquate voire quasi inexistante, des consignes contradictoires ou excessives, des deadlines irréalistes, des réorientations fréquentes sont des exemples de facteurs parmi tant d’autres qui peuvent démotiver vos troupes. Encore fois, prenez le temps d’en discuter avec vos collaborateurs. Ils sont les mieux placés pour dire ce qui ne va pas au sein de l’équipe.

 

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5 Astuces efficaces pour mieux dormir

femme épuisée

5 Astuces efficaces pour mieux dormir

Faire de la méditation et avoir un environnement de sommeil apaisant aident à mieux dormir. Le changement de certaines habitudes en soirée est également bénéfique.

1. Faites attention à ce que vous consommez en soirée

Il est des habitudes que vous devez changer si vous souhaitez profiter de nuits paisibles.

Ainsi, vous améliorerez la qualité de votre sommeil en évitant de consommer toute boisson excitante. Si vous avez cependant réellement besoin de prendre un café ou un thé l’après-midi, faites-le avant 16 heures au plus tard. Cela devrait laisser le temps à votre organiser de se détendre.

2. Évitez de faire du sport en fin de journée

Le sport est bénéfique pour la santé et le bien-être, sauf quand on s’y met deux ou trois heures avant de se coucher. Quand vous pratiquez une activité physique, votre température corporelle augmente. Or pendant les  dernières heures de la journée, le corps doit baisser en température et le rythme cardiaque ralentir.

Les effets chauffants et stimulants du sport sont en revanche utiles le matin. Le créneau idéal pour une activité physique se situe entre 6 et 8 heures. L’exercice permet alors de baisser le niveau de cortisol, l’hormone du stress, et aide l’organisme à transformer les glucides et les graisses en énergie.

3. Évitez de prendre un bain chaud avant de dormir

Il est important que vous gardiez bien à l’esprit que le corps a besoin de baisser en température pendant les dernières heures de la journée. C’est pour cette raison que le sport ne peut se pratiquer en soirée. C’est pour la même raison que prendre un bain chaud est une mauvaise idée. Si la température de l’eau dépasse notamment les 37°C, cela aura des effets stimulants qui risquent de perturber votre sommeil.

Parmi les habitudes qu’il faut changer figure aussi l’utilisation des écrans. La lumière bleue qu’émettent TV, smartphones ou ordinateurs a des effets excitants qui ne favorisent absolument pas la qualité du sommeil.

4. Et si vous  méditiez avant d’aller au lit ?

La méditation est bien connue pour ses vertus relaxantes. Elle aide à mieux gérer le stress et l’anxiété mais aussi à combattre l’insomnie. Vous vous sentirez de bonne humeur après une séance, l’organisme déclenchant les hormones du plaisir (dopamine, sérotonine et endorphine) pendant la méditation.

Vous pouvez utiliser la technique de la respiration en pleine conscience. Pour cela, vous vous concentrez sur chacune de vos respirations. Vous portez toute votre attention sur le flux d’air que vous inspirez puis sur celui qui quitte votre corps.

La technique de la gratitude fait aussi ses preuves. La méditation consiste cette fois à se concentrer sur toutes les bonnes choses que l’on apprécie au quotidien. Faites-vous plaisir en vous repensant à la manière dont un proche vous a rendu service, à la nouvelle déco de votre espace de travail ou à une perspective réjouissante pour votre carrière…

Avec le balayage corporel,  vous vous concentrez progressivement sur les différentes parties de votre corps. Le but est que vous preniez pleinement conscience de vos sensations corporelles. Cela aidera vos muscles à se détendre.

Il y a aussi la technique des mantras qui consiste à répéter des mots ou des phrases pouvant aider à chasser les pensées négatives. « Je me sens bien », « Je suis parfaitement détendu », « Je vais de l’avant » sont des exemples de mantras qui sont des sources de motivation et de relaxation.

5. Soignez l’environnement de la chambre

Que vous soyez parfaitement détendu avant de vous coucher est une bonne chose. Mais il est également important que votre chambre à coucher soit un environnement propice à un sommeil de qualité.

Vous pouvez apporter quelques améliorations pour faire de votre chambre la pièce idéale pour dormir. Cela passe par exemple par le choix de la couleur des murs. Parmi celles qui « endorment » le plus, il y a notamment le violet mais aussi le bleu, le vert ou le jaune.

Pensez aussi à toujours maintenir la température de la pièce à 18 ou 19°C. Cette fraîcheur est utile pour aider l’organiser à baisser en température et à se relaxer.

Surtout, n’y mettez aucun ordinateur ou TV. La chambre doit être un lieu où vous ne ferez que vous reposer et dormir. Céder à la tentation de regarder une série ou jouer à un jeu vidéo n’est pas bénéfique pour la qualité de votre sommeil.

Vous n’arrivez toujours pas à dormir ? Pensez à l’autohypnose, méthode reconnue pour les troubles du sommeil que vous pouvez apprendre dans le cadre d’un formation en hypnose.

4 Astuces pour arrêter de fumer pour de bon

point qui écrase des cigarette

4 Astuces pour arrêter de fumer pour de bon

 

Pour arrêter définitivement la cigarette, il faut avoir une solide volonté pour le faire. Il faut aussi gérer au mieux le stress souvent dû au sevrage. Il faut veiller à la qualité de son sommeil, manger équilibré ou encore faire du sport.

1. Manger équilibré

Il n’est pas rare qu’une personne prenne du poids quand elle commence à arrêter la cigarette. Cet effet secondaire n’affecte pas tout le monde. Mais c’est une perspective qui suffit parfois à inciter plus d’un à rechuter.

La prise de poids n’est cependant pas une fatalité. Si vous avez la volonté d’arrêter définitivement de fumer et que vous tenez à surveiller votre ligne, pensez à manger équilibré.

Pour faire simple, on trouve dans une assiette équilibrée des légumes, cuits ou crus, mais aussi des féculents (pâtes, riz…) ainsi que de la nourriture riche en protéines (viande, œuf, poisson…)

Le rééquilibrage de votre alimentation vous évite de prendre du poids pendant et après le sevrage tabagique. Sans compter les bienfaits pour votre santé de manière générale.

Penser également à vous hydrater suffisamment. Boire au moins 1.5 litre d’eau par jour permet d’avoir une santé solide et d’atténuer certains effets secondaires du sevrage, comme les migraines.

Boire des boissons avec des effets excitants, comme le café ou l’alcool, est en revanche une mauvaise idée. S’il est difficile pour vous d’arrêter du jour au lendemain de prendre du café par exemple, vous pouvez à tout le moins en limiter la consommation.

 

2. Pratiquer régulièrement du sport

Quand vous faites du sport, fixez-vous des objectifs réalistes. Gardez toujours à l’esprit que ces objectifs, vous ne pourrez les atteindre qu’en menant à bien votre processus de sevrage. Arrêter progressivement de fumer est d’ailleurs un cercle vertueux. Cela améliore notamment votre souffle, ce qui vous permet de rehausser vos objectifs en termes d’effort physique. Et plus vous pratiquez une activité physique, plus votre corps est en mesure d’« encaisser » les effets secondaires de l’arrêt du tabac.

Le sport n’est pas seulement bénéfique pour la santé mais favorise aussi le bien-être. Quand le corps fait des efforts, il sécrète de la dopamine, l’hormone du bonheur. Vous serez ainsi mieux  armé psychologiquement pendant les situations stressantes.

 

3. Faire du yoga ou de la méditation pour gérer le stress

Essayez tout ce qui peut vous mettre à l’aise au quotidien, tout ce qui peut vous aider à avoir l’esprit serein. La méditation est une solution intéressante. Parmi les techniques les plus connues, il y a celle de la respiration en pleine conscience. La méthode consiste à se concentrer sur chaque respiration. La pensée est alors entièrement focalisée sur chaque flux d’air entrant ou sortant de votre corps.

On peut également mentionner la technique du balayage corporel. La méthode consiste à porter toute son attention sur différentes parties du corps. Le but, avec l’une ou l’autre de ces techniques, est de ne penser qu’au moment présent pour avoir une certaine paix  intérieure.

Le yoga est aussi une solution pratique pour gérer le stress dû au sevrage tabagique. Quand vous effectuez la posture de la cigogne par exemple, cela stimule la circulation sanguine, particulièrement au niveau du cerveau. Cela a pour effet d’apaiser le système nerveux et d’atténuer les éventuels maux de tête. C’est d’ailleurs pour ses effets apaisants que l’on recommande aussi la pratique du yoga avant d’aller vous coucher.

 

4. Penser aussi à occuper son esprit

Il peut arriver beaucoup de choses quand on arrête de fumer. On peut s’ennuyer pendant son temps libre. Et la tentation de fumer à nouveau n’est jamais loin. Quand le corps est en manque de nicotine, il est vulnérable. Cette vulnérabilité peut se traduire par des troubles du sommeil, de l’anxiété ou du stress.

Il est donc important de toujours s’occuper l’esprit pour avoir la force mentale de ne pas rechuter. La méditation aide déjà beaucoup, d’autant qu’elle améliore la qualité du sommeil. Il en est de même pour le yoga.

Pour vous occuper l’esprit, vous vous faites tout simplement plaisir en réalité. Si vous vous passionnez pour les défis ou les découvertes, partez en randonnée avec des amis ou pratiquez une activité sportive à fortes sensations (canyoning, via ferrata, escalade, saut à l’élastique…) Ou bien partez à la découverte de villages médiévaux, initiez-vous à de nouvelles activités sportives ou culturelles, etc.

Quelle que soit l’activité que vous pratiquez, gardez toujours le contact avec vos proches. Demandez-leur des conseils pour votre sevrage tabagique. Certains pourront vous aider à mieux gérer le stress ou l’anxiété. D’autres n’auront peut-être pas d’astuces à vous donner. Mais le simple fait de passer du temps avec eux vous mettra de bonne humeur. Si quelqu’un vous invite à sortir en boîte ou à une soirée barbecue, laissez tout tomber et foncez. En somme, lâchez-vous.

Vous n’arrivez toujours pas à dormir ? Pensez à l’autohypnose, méthode reconnue pour aider à arrêter de fumer, que vous pouvez appréhender dans dans le cadre d’un formation en hypnose.

 

Comment gérer son stress en 7 étapes simples ?

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Comment gérer son stress en 7 étapes simples ?

Le stress peut survenir à tout moment de notre vie, que ce soit au travail, dans une relation amoureuse ou quand un être cher traverse une période difficile. La pratique régulière d’activité physique, la méditation et la qualité du sommeil aident à mieux gérer le stress. Pour reprendre le contrôle de votre vie et avoir des journées plus apaisées, vous pouvez également vous confier à des proches ou encore écrire ce que ressentent dans un journal.

Toutes les méthodes ci-dessous sont des méthodes de PNL: programmation neurolinguistique, offerte par l’Académie PNL Eric MATHIASIN, expert en PNL et Coaching en Guadeloupe.

 

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1. L’importance du sommeil

Le stress peut perturber la vie quotidienne à tout moment. Vous y êtes confronté quand des changements arrivent dans votre vie, quand quelque chose change votre routine ou ne se passe pas comme vous l’aviez imaginé. Le stress survient aussi quand vous avez le sentiment de perdre le contrôle ou que vous ressentez de la peur pour vous ou pour un proche.
Profiter d’une bonne nuit de sommeil vous permet de vous réveiller plein d’énergie le matin. Cela a du bon en effet de commencer la journée avec quelque chose de positif. Quand vous passez une nuit agitée en revanche, la fatigue vous rend plus vulnérable à toute situation stressante.
Les situations délicates peuvent être nombreuses au cours d’une journée. Dormir suffisamment vous aide àcm être mieux armé physiquement et mentalement pour y faire face. Eviter toute situation stressante est quasiment une mission impossible, mais tout faire pour ne pas vous laisser absorber est à votre portée.

2. Pratiquez régulièrement une activité physique

Les difficultés de la vie obligent à être fort, physiquement ou mentalement. Face à des situations stressantes, vous pourriez être tenté de fuir, de vous renfermer sur vous-même. Mais il est des difficultés que vous ne pouvez tout simplement pas ignorer, quand elles surviennent au travail ou dans votre vie de couple par exemple. Le mieux est plutôt de gérer au mieux le stress, il y va de votre santé et de votre bien-être.
En faisant de l’exercice physique, votre corps libère certaines hormones, comme l’endorphine et la sérotonine, qui aident à apaiser l’anxiété. L’activité permet en outre de canaliser l’adrénaline que relâche votre organisme quand vous vous retrouvez dans une situation stressante. Que cet exercice consiste à faire du cardio ou du jogging, l’essentiel est que votre corps bouge le plus souvent possible.

3. Méditez

La méditation vous aide à vous recentrer totalement sur le moment présent, à ne penser qu’à vous et à libérer votre esprit de toute pensée négative. Le but n’est évidemment pas de faire comme si les problèmes du quotidien n’existaient pas. Les exercices de respiration profonde permettent de réduire le stress et l’anxiété, et donc de faire face de manière sereine à tout ce qui peut arriver dans la vie.

4. Gardez le contrôle de votre vie

Le sentiment de perte de contrôle est un cercle vicieux. Souvent à l’origine d’un état de stress, il peut aussi en être la conséquence. Quand vous connaissez ce sentiment d’impuissance, faites de votre mieux pour reprendre le contrôle du cours de votre vie. Il y a certes de nombreuses situations qui ne dépendent pas de votre volonté et qui peuvent être des facteurs de stress ou d’anxiété.
Rappelez-vous dans ce cas les autres aspects de votre vie dont vous pouvez garder le contrôle. Pensez notamment à des choses positives ou encore à des défis ou des projets qui vous passionnent. Surtout, quoi qu’il se passe, occupez-vous l’esprit, en faisant du sport, en voyageant, en cuisinant, en vous initiant à une nouvelle activité… Garder le contrôle de votre vie, c’est faire en sorte que les moments difficiles ne mettent pas votre esprit sens dessus dessous. Cela consiste aussi, dans certains cas, à lâcher prise quand la situation vous échappe.

5. Les bienfaits du sourire et du rire

Comme pour la méditation, rire permet de profiter pleinement de l’instant présent. Les quelques secondes pendant lesquelles vous riez apportent quelque chose de positif à votre journée. Le sourire est lui aussi bénéfique pour votre bien-être. C’est l’une des meilleures façons de montrer à votre entourage que vous appréciez le temps que vous passez avec eux.

6. Passez du temps avec les autres

Les personnes avec qui vous parlez n’ont pas nécessairement les réponses à vos questions et sont parfois dans l’incapacité de vous venir en aide. Le plus important est de ne pas garder vos soucis pour vous. Les échanges avec autrui sont autant d’occasions pour vous d’exprimer, avec vos mots, ce que vous ressentez. Et vous serez soulagé d’ailleurs de découvrir que cela n’arrive pas qu’à vous.

7. Racontez vos vécus dans un journal

Le but est là encore d’exprimer toutes vos préoccupations. Le journal est en outre un moyen de voir les choses avec le recul nécessaire. Vous ne devez cependant pas l’utiliser uniquement pour extérioriser des pensées négatives. Racontez-y aussi les situations où vos proches ont été présents pour vous, où vous avez été fier d’un être cher, en somme toutes les bonnes choses qui sont arrivées dans votre vie. En relisant votre journal, vous vous rendrez probablement compte que tout n’est pas si noir en réalité.